L'une d'entre elles a souhaité que je publie son témoignage.
C'est ce que je fais ici. Il est long car il décrit une série de 3 événements que la personne avec qui je corresponds ne s'explique pas. Vous verrez que le lien avec l'affaire Ummo est explicite.
Il y a évidemment une partie subjective dans son compte-rendu mais aussi des faits surprenants.
Je voulais au départ analyser son histoire, mais finalement je préfère vous la livrer telle quelle, vous laissant vous forger votre propre avis.
Je me permets d'illustrer cette "confession" à ma façon :
Illustration originale réalisée à partir de clip arts du site : https://openclipart.org
Je reprends donc mot pour mot le récit qu'on m'a confié pour publication :
______ Partie 1 ______
«Bonjour,
J'ai demandé à Isabelle Goudalle de publier mon témoignage elle-même.
Pour des raisons personnelles, je ne souhaite pas apparaître, même sous pseudonyme.
Je m'intéresse de près à l'hypothèse ET, et à l'affaire UMMO, depuis 3 ou 4 ans.
Pendant 2 ans, j'ai visionné et lu beaucoup de choses à ce propos.
Les choses ont vraiment basculé un an plus tard, en rentrant un samedi d'une soirée modérément arrosée et sans abus par ailleurs. Trois verres d'alcool en 3 heures m'ont fait marcher ¼ d'heure dans la tranquillité et la douceur d'une nuit étoilée et sans nuage en banlieue, en cette première ou deuxième nuit du vendredi au samedi ou de samedi à dimanche de septembre 2014, afin de m'assurer que j'étais en état de conduire, pendant que je calculais mentalement mon alcoolémie par mesure de sécurité supplémentaire. Je descendais une pente douce dans la douceur de la nuit goûtant la douceur de la vie quand je remarquai un astre dans le ciel. Beaucoup trop gros pour être une étoile, rouge orangé, sa couleur m’évoqua la planète Mars, vue une dizaine d'années plus tôt, mais en un peu plus vif et surtout d'un diamètre apparent deux à quatre fois plus important. D'un naturel curieux je restais le nez en l'air en me rendant à ma voiture. La lumière semblait à des kilomètres de là. Au bout d'une cinquantaine de mètres, je m’aperçus que sa position semblait fixe dans mon champ de vision alors que les étoiles disparaissaient sur la ligne d'horizon barrée par une rangée de marronniers taillée au cordeau. A proximité des arbres, je m'arrêtai brusquement, et la lumière resta fixe dans mon champ de vision. Je fis demi-tour, marchant de côté pour regarder cette lumière, les étoiles réapparurent en remontant la pente mais la boule orangée ne bougea pas. Je variais ma vitesse pendant une cinquantaine de mètres pour tenter de mettre en défaut cette immobilité apparente, je m'arrêtai brusquement et redescendit avec la lumière orange toujours fixe dans mon champ de vision. M'approchant des arbres sous la frondaison desquelles la lumière lointaine n'aurait pu pénétrer, je me dis intérieurement: «si ça disparaît maintenant, je me pose des questions...»; à peine eussé-je pensé cela que la boule orangée disparut dans une gerbe évoquant un triskèle... Faut-il préciser qu'à partir de ce moment je me suis posé des questions?
Ayant l'âge de ma génération, on pourra toujours se dire qu'au sortir d'une soirée entre amis l'entendement aura pu être embrumé par telle ou telle molécule psycho-active (alcool, tabac etc) et qu'une hallucination ou illusion est très vite arrivée dans ces conditions... Chacun pourra faire des recherches, il est rarissime qu'un sujet puisse agir sur l'hallucination dont il est victime: en effet, la variation des directions et vitesses de déplacement n'ont rien changé à la perception d'une fixité de cette manifestation dans mon champ de vision. La fixité de cet «objet» quand les étoiles se perdaient dans l'horizon atteste que l'objet était en mouvement relatif par rapport à moi, et compensait mes déplacements pseudo-stochastiques délibérés. Il y a donc eu interaction, se terminant par une synchronicité de ma pensée et du phénomène. Ainsi, non seulement j'aurais agi sur cette illusion ou hallucination mais encore je l'aurais faite cesser selon ma volonté.
Bien sur, l'esprit peut faire voir ce que l'esprit a envie de voir et parvenir à s'influencer lui-même, aidé par la fatigue d'une heure tardive et d'une alcoolémie à 0,15g/l. Ou alors il aurait pu s'agir d'un drone piloté par un plaisantin très habile, ou toute autre explication plus habituelle acceptable par l'esprit... Tout est possible, on peut tout considérer».
______ Partie 2 ______
«Mon récit ne s'arrête pas à celui de cette manifestation aérienne étrange.
Un mois après cela, j'ai eu une conversation plus étrange encore avec un jeune homme.
Voici la relation de ma rencontre avec ce jeune homme, il y a un an.
Dans un grande ville de France, je participais à un événement d'hostilité aux multinationales (je sors très rarement de mon bled).
Je faisais le tour de l’événement, pour estimer le nombre de personnes quand, ayant presque fini ma revue, je remarquai un gars tout ce qu'il y a de plus banal qui lisait un prospectus à propos des "chemtrails". Chose étrange, j'avais l'impression que cet homme avait envie qu'on lui parle, et même que je lui parle... alors que j'arrivais de ¾ à 7/8 dans son dos donc hors de son champ de vision. Il est certain par avance qu'en annonçant cela je perds le peu de crédibilité qu'on peut accorder à ce genre de témoignages anonymes, toujours est-il que c'est ce que j'ai ressenti à cet instant alors je le rapporte.
Il était d'un banal affligeant, il n'était pas le genre de personnes qui laisse un souvenir impérissable a priori. Spontanément attiré par les femmes, je ne remarquais pas de suite que ce mec était "beau".
La première impression fut celle que c'était un type des services de renseignements, de ceux qui traînent dans les foules pour prendre la température du Peuple... impression vite doublée que ça ne m'étonnerait pas que ce soit aussi un ET d'UMMO: peut-être la manifestation aérienne un mois auparavant a-elle influencé mon jugement à ce moment.
Son air absorbé à lire un prospectus insipide dont j'avais fait le tour en 20 secondes me donnait l'impression qu'il s'agissait d'une contenance qu'il se donnait.
Le look ultra-propret du jeune homme esseulé tranchait dans le populo bigarré agglutiné par paquets. L'attention durable qu'il portait à ce prospectus qui se lisait en 20/30 secondes m'a semblé suspecte, à moins bien sur qu'il n'aie été dyslexique ce qui expliquerait tout.
Ce type était louche, aussi louche que mon aspect dépenaillé, et encore je faisais plus couleur locale noyé dans la foule du contexte de notre rencontre.
Bref, le gars m'a paru louche d'emblée. Flic ou ET?... Peu importe, quelque chose au fond de moi m'a crié qu'il n'était pas des nôtres.
Je l'ai approché parce qu'il me semblait louche, j'ai pensé à un flic en civil au tout début. Dans la mesure où mes actes sont légaux, il ne servirait à rien de me méfier d'un serviteur de l’État qui, en le servant au mieux, me sert au mieux.
Je m'approchai et engageai la conversation sans détour: "Effrayant..." dis-je en montrant du regard son prospectus sur les chemtrails. Nous commençâmes à dialoguer, j'énumérai toutes les possibilités qui me vinrent à l'esprit à propos des chemtrails, et j'orientai la conversation en mode corruption de nos élites.
Cet homme me dit bientôt qu'il était encarté au [mouvement politique], parti auquel je venais d'adhérer: "moi aussi, mon numéro d’adhérent est le..., et toi?", demandai-je. Apparemment la question l'a gêné, il l'éluda innocemment.
A partir de là, je le laissais prendre le fil de la conversation à son compte. Il ne donnait jamais son avis mais s'enquerrait du mien: corruption, destruction de l'environnement, complicité des puissants, complot sournois contre l'humanité anodine, but de la manœuvre... Je remarquais au fur et à mesure que de fil en aiguille nous passions au crible tous les sujets polémiques qui m'intéressaient; je décidai fermement de garder pour moi celui qui m'intéressait le plus: le sujet ET».
______ Partie 3 _______
Le bestiau m'avait l'air en pleine santé: bien nourri et sans graisse, pas une seule cicatrice d’acné ni stigmate d'abus ou de fatigue... et même, le gars semblait excessivement équilibré, sain et reposé. L'ensemble du personnage dénote dans la maladie mentale collective qui fait de l'Humanité ce qu'elle est (je m'inclue dans le tas).
Il semblait pathologiquement normal.
Je ne saurais pas l'expliquer plus clairement: quelque chose en moi criait en continu qu'il n'était pas des nôtres; tout le monde peut se tromper.
Je scrutais ses yeux intensément, il y transparaissait le regard de l'animal inquiet; ce type n'était pas tranquille à discuter dans la foule avec un gus dans mon genre: j'étais aux antipodes de lui, l'air sale, barbe et cheveux mi-longs, un peu fatigué, mal habillé, l’œil perçant et méfiant, le tout contrastant avec un discours franc, ouvert et brut de décoffrage.
Sa présentation et son discours montraient une réserve permanente, il ne donnait toujours pas son avis sur les sujets qu'il lançait.
Si mon attitude «confiante» paraît étrange, on pourra admettre symétriquement que l'attitude qui m'a été proposée en miroir l'était tout autant. C'est à l'aune de cette étrangeté réciproque qu'il faut juger la situation. L'intérêt de mon vis à vis et son abord systématique des sujets polémiques qui m'intéressaient m'ont paru très suspects.
Un fait est certain: mon interlocuteur a jugé que le temps qu'il me consacrait valait les informations qu'il recevait en échange, ce qui m'a fait penser qu'il était à la pêche aux infos pour le compte d'un tiers. S'il n'était pas flic, il était en mission. Il se livrait à un interrogatoire, qui que ce fût; ceci est à considérer en soi.
Au départ, j'ai parlé de chemtrails, puisque c'est ce à quoi le type s'intéressait en lisant ce prospectus, sujet qui m'intéressait aussi. On appelle cela utiliser un "objet transitionnel", comme on aborde quelqu'un en lui parlant de son chien. C'est une technique de communication de base.
Le fait de le voir s'attacher longuement et intensément à cet objet sans valeur appelait la curiosité, encore faut-il s'attacher lorsque l'on s'intéresse à autrui à le voir au delà des apparences.
Je le rappelle, une fois amorcée, c'est mon interlocuteur qui a orienté la conversation en rebondissant de sujet controversé en sujet controversé. Bien entendu j'abondais en ce sens. C'est encore mon interlocuteur qui a prétendu faire partie de [mouvement politique], dont j'étais à l'époque un récent adhérent.
Cependant, cette façon de mener la conversation m'a semblé curieuse, tout aussi curieuse que peut sembler ma facilité à entrer en communication avec un inconnu suspect.
Toujours est-il que je persistais à éviter le thème ET soigneusement, je voulais savoir s'il allait l'évoquer.
Bref, pendant 10 minutes d'élucubrations conspirationnistes, suivant volontiers l'orientation de la conversation, je m'attendais depuis le début à l'évocation du thème ET, que je me gardais donc bien de mettre en avant...
Il finit par me lancer en pâture l'hypothèse ET. Je n'attendais que ça, on l'aura bien compris.
J'épuisai rapidement le sujet: la conversation tourna vite en rond tout en montrant que pour moi la question ET pouvait expliquer bien choses paraissant incompréhensibles dans le cours des événements depuis 50 ans. Tout comme j'avais soigneusement évité d'engager le dialogue sur le thème ET en début de conversation, je passais méticuleusement à côté du dossier "oumain", que je connais bien».
______Partie 4 _______
«Bref, pendant 5 minutes j'attends qu'il me parle du dossier UMMO.
Il me lâche une phrase clef, genre: "Tu connais les Ummites? ,
- J'ai tout lu,
- Tout? ,
- Tout!", ponctuais-je péremptoire en faisant un mouvement de ciseau à plat de l'avant bras.
Il eu l'air manifestement impressionné, le ton y participait et mon "Tout!" était intentionnel: d'après J.Pollion, "TU" voudrait dire "évolution obligatoire".
Vous pensez bien que je contrôlais en permanence l'expression de son visage et les mouvements de ses yeux: le jeune homme était impressionné, il cessa de me fixer un instant, ses yeux allèrent chercher dans son esprit quelque chose, j'ignore quoi mais ils y allèrent.
Dans la foulée, je lui ai dit que je pouvais m'exprimer en "Oumain"; il commença à tortiller du cul: "Ok, mais ci... et ça... tu sais, en telle langue... gnagnagna...".
Je l'interrompis et lui dis que je savais dire en oumain: "La loi universelle est de parler avec tous les êtres sensibles et de construire une coopération entre toutes les planètes basée sur le libre-arbitre" (à peu près).
Il repartit sur des considérations linguistiques à se taper le cul par terre, et j'ai prononcé à brûle-pourpoint la concaténation: "UAADUOEGABIUOYAAI". Il n'a pas tiqué, juste un mouvement de retrait du visage et est reparti sur "oui, mais tu sais... en telle langue... gnagnagna..." et je lui ai alors précisé bien dans les yeux: "UAADUOEIGABIUOYAAI". Ces phrases avaient été bâties par mes soins en me servant des principes relevés par Jean Pollion dans son livre sur l'affaire UMMO.
Là son visage s'est figé ½ à 1 seconde, son regard s'est perdu. Il est devenu gris-verdâtre, de cette teinte que l'on peut avoir quand on est soumis à une émotion sidérante. J'ai eu la certitude injustifiable qu'il m'avait compris cette fois-là. En tout cas je l'avais cueilli net. Il venait de se prendre une baffe monumentale.
Il a alors dit quelque chose dont je ne sais même plus s'il l'a vraiment dit ou si je l'ai imaginé, le lecteur comprendra pourquoi.
Je ne saurais le jurer mais il m'a bien semblé comprendre clairement: "Comment tu fais pour parler notre langue?...", ou quelque chose dans le style.
Là, c'est moi qui a été cueilli.
J'étais complètement abasourdi, je ne m'étais pas préparé à une réponse aussi explicite. J'ai été tellement «choqué» d'entendre ce que j'avais en réalité envie d'entendre que j'en suis venu à douter de ce que j'avais entendu. J’imagine que c'est un peu ce que peut ressentir un gagnant du loto quand il voit s'afficher les 6 numéros plus le complémentaire.
Je venais de prendre l'une des plus grosses baffes de ma vie. Pendant 1 seconde j'ai été soumis à une superposition d'états d'esprit indescriptible, je ne comprenais plus rien, il n'y avait plus rien à comprendre, tout allait de soi. Je n'ai pas insisté pour lui faire confirmer sa déclaration, la confusion dans laquelle je me trouvais plongé m'avais stupéfié.
Le pire, sur le plan émotionnel est survenu bien après: avais-je donc entendu, ou bien voulu entendre? Cette question m'a taraudé longtemps, dans un maelstrom dubitatif où se superposaient des états d'esprits contradictoires, que l'on pourrait résumer en un mélange de colère et d'espoir.
Quoiqu'il en soit, j'ai fait un ou deux commentaires désagréables sur UMMO pour tester mon interlocuteur (sans succès).
Je lui ai aussi raconté la manifestation lumineuse un mois auparavant. Il émit des doutes sur ma sobriété de l'époque, je lui expliquai vexé que j'avais connu des abus et des altérations perceptives bien pires qui ne s'étaient pas accompagnés de ce type de manifestations, et que de toute façon (le lui prouvant par le raisonnement qu'il valida de bonne foi et d'évidence) il y avait eu interaction.
Il me dit avoir vu des mouvements aériens avec sa mère. Son récit était sans intérêt: il avait vu passer des OVNI 2 ou 3 jours de suite, sans interaction notable.
Prétextant que nous adhérions au même parti, je lui montrai ma page FB sur son Iphone en lui disant de me recontacter par ce biais.
Il ne m'a pas recontacté.
C'est vraiment dommage: un gars du même parti que moi, intéressé par les mêmes sujets et ayant potentiellement une sœur aussi belle et à la peau aussi parfaite que lui... Quelle déception!
Agent en civil? Plaisantin? Séide d'une organisation malsaine? Autre?
Ce qui est certain c'est que je ne le connaissais pas, qu'il avait l'air très au courant de mes centres d'intérêt du moment, que nous nous sommes rencontrés loin de mon village d'où je ne sors jamais ou presque, que nous avons discuté 10 à 20 minutes, qu'il ne m'a pas recontacté et qu'il était très intéressé par ce que je pensais».
______ Partie 5 ______
«Un événement curieux est survenu dans les semaines ou mois qui ont suivi.
Je discutais avec un ami à 20 mètres de chez moi depuis 1/4 d'heure en gros.
Une voiture s’est arrêtée devant ma porte de garage. Un homme d'âge mur en est sorti, s'est approché de la porte, a fait mine de chercher à l'ouvrir avec une clé pendant que je l'observais intensément sans rien dire.
J'attendais qu'il entre pour le suivre et lui poser des questions mais il s'est ravisé après une seconde d'hésitation et est rentré dans sa voiture comme il en est sorti.
J'aurais bien aimé discuter avec lui. Il n'y a rien de précieux chez moi au point de tabasser un homme, par contre il y a des outils potentiellement dangereux. Peut-être a-t-il craint une réaction violente, sans doute ne s'attendait-il pas à me voir là, ou alors la présence de mon ami l'a motivé à s'esquiver etc. Il ne pouvait pas savoir que j'évite la violence physique par principe et par calcul. Dans ce cas précis, il aurait été plus intéressant de savoir ce qu'il en était plutôt que l'agresser.
Ajouté à mes histoires de quelques mois auparavant, ça m'a exaspéré, c’était vraiment étrange. Il y a des moyens plus discrets pour espionner les gens que se présenter chez eux en pleine journée. Ce passage éclair n'avais pas de raison a priori, ce qui m'a beaucoup énervé.
J'aurais pu lui tomber dessus car il était à portée et j'étais en avantage numérique (comme me l'a fait remarqué mon ami une fois que l'homme a redémarré et que j'en ai parlé) mais ce genre d'attitude aurait été contre-productif. J'attache à ma personne une valeur relative: il n'est pas valable de prendre un mauvais coup pour si peu.
Si ces deux personnes rencontrées font partie du même groupe, ils devraient disposer de moyens d'écoute qui les dispensent de prendre ce genre de risques. Peut-être même ont-ils des moyens de savoir ce qu'il se passe dans la tête des gens (cf. la disparition du phénomène lumineux synchrone de ma pensée: ce peut-être un hasard mais tout de même) et en ce cas leurs oreilles devraient avoir sifflé très fort. Toujours est-il que se montrer de cette façon sans raison logique doit vouloir dire quelque chose».
______ Partie 6 ______
«L'enchaînement des trois événements relatés ne forme peut-être pas un tout.
Et ce récit n'a de valeur que pour ceux qui voudront croire à son authenticité.
A ceux qui y porteront foi, il peut servir pour anticiper leurs réactions propres, voire se forger une conduite à tenir par avance si tel expérience leur arrivait.
Si ces êtres existent, et commencent à se manifester à nous aussi directement, il est de notre devoir de faire preuve tant de méfiance par respect pour nous même que d'ouverture par respect pour eux.
La méfiance nous prescrit de leur parler, afin d'obtenir des informations supplémentaires et de clarifier leurs intentions, autant que faire se peut: il me paraît impensable de faire confiance à des personnes dont nous ne savons rien d'autre que ce qu'elles ont bien voulu nous dire. La bonté est aussi universelle que la duperie, leur expression est question de circonstances autant que de nature profonde.
L'ouverture est requise également, et pour les mêmes raisons.
Beaucoup de non-sceptiques dans l'affaire UMMO ont un a priori favorable envers les Oumains. Il me serait agréable que cet a priori soit juste, il serait à tous désagréable qu'il soit faux.
Ma prescription aux personnes éventuellement contactées à l'avenir est de rester impavide face à la prouesse que peut représenter un voyage interplanétaire: une attitude admirative reviendrait à se laisser influencer comme des enfants par un prestidigitateur. Les perspectives matérialistes merveilleuses que cela représente sont de piètre valeur: «plus le diable en a, plus le diable en veut».
L'émotion que l'on pourrait ressentir du fait d'une communication interpersonnelle ET, que cette émotion soit positive, négative ou les deux à la fois, pourra avantageusement être examinée comme elle se présente, pour la laisser diminuer en intensité.
Par ailleurs, proposer d'emblée à des entités exogènes une fraternité dont sommes incapables entre-soi est sans fondement et contradictoire.
Pour aller plus loin, en quoi fraterniser avec d'autres êtres intelligents serait-il plus transcendant que fraterniser au niveau international? Accorder plus d'importance à une fraternisation inter-spécifique relèverait d'une forme de racisme à l'envers, rationnellement et émotionnellement illogique. S'il existe d'autres intelligences que nous, ce qui est très probable, ces intelligences méritent autant de considération de notre part que nous en méritons de la leur, et certainement pas plus de considérations que nous n'en avons envers nous-mêmes.
En cas de rencontre avec «d'autres», mon sentiment personnel est qu'une attitude neutre et bienveillante est de bon aloi. C'est celle que j'ai intuitivement appliquée. Il est prudent de ne rien promettre, excepté le respect de l'intégrité de l'autre en échange du sien envers la nôtre, et de limiter la coopération au strict minimum en veillant à rester créancier en toute circonstance. Le jour où nous serons capables de constater par nos propres moyens leur mode de vie réel, et ce jour seulement, nous pourrons envisager d'approfondir les relations ou de les maintenir distantes, en toute connaissance de cause cette fois.
Si l'un des lecteurs de ce blog venait à être contacté, c'est ce message que je lui demande, en tant que porte-parole de notre multitude qu'il sera de fait, de faire passer pour moi, en plus du sien».
Avertissement
Témoignage suivant
Très intéressant, mais pour en revenir à la porte de garage, qui essayerait d'ouvrir la porte d'un autre avec sa propre clé ? La serrure a éventuellement été scannée par un procédé encore inconnu de nous et ensuite une clé a été fabriquée. Pour quelle raison ? A la place du témoin je leur laisserai une lettre bien en évidence dans le garage.
RépondreSupprimerSa propre clé ? Personne. Un passe, une carte bancaire pourraient être des outils plus utiles pour un cambrioleur par exemple. Reste à voir si les voleurs s'adonnent à leur art en plein jour et devant témoins.
SupprimerBonjour il faudrait voir comment ont été tracés ces événements
Supprimerpour pouvoir les identifié. Cela m'étonera toujours de tels témoignages et aussi cela prouve l'efficience et la fonctionalité du travail de jean Polion sur les soncept.
Tout ceci est surprenant et émerveillant bien entendu de pars le niveau requis de conscience.
La partie 6 est très intéressante dans ses conseils et je les partage.
RépondreSupprimerEn revanche, je ne peux pas me laisser aller à croire cette histoire (d'autant plus qu'elle est bien écrite!).
Je reconnais que j'ai pu idéaliser, en mon for intérieur, ce genre de rencontre mais de là à y croire, je ne peux pas m'y résoudre par principe. Je ne peux pas expliquer le phénomène ummo, j'aimerai franchement y croire (je n'en suis pas loin tant c'est plausible) mais quand j'en parle à quelques proches de confiance et sensibles au sujet, je les exhorte toujours à relativiser et à se renseigner par eux-mêmes pour s'en faire une idée. Mais surtout de ne pas croire! Peut-être aussi que j'essaye personnellement de ne pas m'emballer devant une affaire si passionnante et profonde de surcroît (j'ai cette fâcheuse tendance à l'excès d'émotion et de passion mais depuis que je lis les lettres ummites je me soigne, c'est plutôt contradictoire je vous l'accorde).
En tout cas merci, je n'en ai pas perdu une miette. Je dois reconnaitre que je n'ai pas encore tout lu des lettres sur ummoscience et que je ferais un piètre interprète en langue ummite tant ça me parait inabordable. Qui sait peut-être un jour :) ...
Bouss
Pour avoir discuté avec la personne qui se confie ici, je peux vous dire que l'on perçoit chez elle le conflit intérieur entre l'envie d'y croire et le fait qu'elle ne peut y croire.
SupprimerOn peut évacuer son témoignage en se disant : la lumière nocturne, simple illusion d'optique, la 1ère rencontre, une confusion auditive entre "notre langage" et "leur langage", la 2ème rencontre, un cambrioleur ou un voisin qui a trop bu.
Ce qui est intéressant, c'est qu'on est toujours (et j'ai plusieurs récits en tête) dans la "twilight zone", un espace à la limite de la crédibilité du témoin.
En fait je n'évacue pas du tout cette histoire, si je ne veux pas y croire ça ne veut pas dire que je la renie, je ne sais pas si je suis très clair :S . En fait, il est tout à fait possible de simuler ce conflit intérieur (ou d'autres attitudes), et même si le texte me l'a bien faire ressentir ce conflit, je ne peux pas y croire simplement. Je ne dis absolument pas que l'auteur de ces lignes est un menteur car je n'ai aucun moyen d'en juger mais le croire serait tomber dans l'excès inverse même en l'ayant en face de moi (d'ailleurs la partie 6 en parle bien mieux que moi).
RépondreSupprimerJ'aimerais pouvoir dire "il y a des choses qui ne trompent pas" mais nous sommes bien trop complexes pour avoir des certitudes et puis je suis de nature prudente. Cela dit, je vous rejoins sur la "twilight zone", c'est une sorte de zone à frisson et dans la position de l'auteur j'aurais agi probablement de manière similaire.
Il y a-t-il d'autres témoignages de ce genre à venir? En tout cas j'aimerai qu'il y en ai d'autre ;)
Et puis merci pour ce blog aussi, je commençais à me demander avec qui je pouvais m'étendre sur cette affaire.
C'est tout à fait normal et sain de garder une certaine réserve.
SupprimerJ'espère tout comme vous que les langues vont se délier. Il faut dire que certaines choses sont difficiles à évoquer quand on a une certaine position sociale.
D'autres sont tenus par une sorte de contrat moral qui les empêche de "trahir" la confiance qu'on leur a accordée. Nous verrons bien...
Bonjour Isabellle ce témoignage est intéressant d'autant qu'il m'es arrivé une histoire assez semblable.
RépondreSupprimerBonjour FH,
SupprimerSi vous voulez témoigner et faire plaisir à Sylvain, vous savez ce qui vous reste à faire : utilisez le formulaire de contact ci-contre pour m'envoyer votre histoire par mail. Je pourrai ainsi la publier sous forme d'un nouvel article. Vous pouvez aussi nous raconter tout cela en commentaire, mais je sais d'expérience que lorsque les commentaires s'accumulent sous un billet, il devient difficile de savoir qui répond à qui et qui parle de quoi.
Bonjour FH,
SupprimerJ'aimerais bien lire votre témoignage aussi.
Orja
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe ne sais trop si les témoins de Jéhovah apprécient les buveurs de pastaga... :)
SupprimerBonjour Cyril Isabelle ce qui étonne dans se témoignage c'est visiblement la personnalité de l'individu rencontré par le témoin..
RépondreSupprimerPourquoi as t'il été attiré par lui alors que ce derner était de dos ? D'autre part en ce qui concerne l'observation de nuit, le témoin nous indique qu'il était sous l'emprise de l'alcool certes mais de manière très modérée il aurait très bien pu occulter ce détail donc le fait qu'il l'ais mentionné semble aller dans le sens de son authenticité.
A ce moment là il a eu le réflexe de se cadrer par rapport à la rangée d'arbres et à la lumière qu'il observait, c'est tout de même étonnant qu'elle ait disparu au moment ou il pensait a quelque chose de cet ordre non qu'en pensez vous ?
Le fait que notre témoin ait été attiré par cet individu m'a paru à moi aussi étrange. Je ne suis pas certaine que le témoin en ait une explication vraiment claire. Les points qu'il met en avant sont, je cite :
Supprimer- "Le look ultra-propret du jeune homme esseulé tranchait dans le populo bigarré agglutiné par paquets. " On remarquera que le jeune homme est décrit comme à la fois très banal et très louche, ce qui peut paraître paradoxal.
- "L'attention durable qu'il portait à ce prospectus qui se lisait en 20/30 secondes m'a semblé suspecte, à moins bien sur qu'il n'aie été dyslexique ce qui expliquerait tout."
Quant à la disparition de la lumière nocturne, c'est difficile d'en penser quoi que ce soit. Déjà on ne connaît pas la nature du phénomène lumineux. Alors, coïncidence ou réponse à une pensée, impossible de trancher.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEntièrement d'accord. On sent chez l'auteur une envie très forte de croiser le phénomène Ummo, antérieure à ses aventures.
SupprimerJe pense qu'il est tout à fait conscient de cela au point de douter de lui-même :
-> "Le pire, sur le plan émotionnel est survenu bien après: avais-je donc entendu, ou bien voulu entendre? Cette question m'a taraudé longtemps, dans un maelstrom dubitatif où se superposaient des états d'esprits contradictoires, que l'on pourrait résumer en un mélange de colère et d'espoir."
"La loi universelle est de parler avec tous les êtres sensibles et de construire une coopération entre toutes les planètes basée sur le libre-arbitre" se dirait : UAADUOEGABIUOYAAI
RépondreSupprimerUAA DU OEGABIU OYAAI ?
Puis-je demander au témoin comment il connaît cette phrase ?
Je ne sais pas si elle est correcte mail il y a de l'idée :)
Le témoin m'a chargée de vous transmettre sa réponse que je reproduis ici intégralement en plusieurs commentaires étant donnée sa longueur :
SupprimerBonsoir w41k,
Comme votre nom est peu long, je vous appellerai par le diminutif w, si vous le permettez...
Il est possible de montrer qu'il existe un assez bonne correspondance entre:
- «la loi universelle est de parler avec tous les êtres sensibles et de construire une coopération entre toutes les planètes basée sur le libre-arbitre»
- et UAADUOEGABIUOYAAI.
Plus précisément même: UAADUOEIGABIUOYAAI, comme écrit dans le témoignage.
Ceux qui connaissent bien les lettres ummites auront remarqué une similitude entre cet enchaînement de lettres et les mots oumains, on dirait même de l'oumain, si l'oumain existe.
Il est même possible de poursuivre beaucoup plus loin, en pratiquant cette langue de façon expérimentale/vocale, comme cela va être expliqué ci-dessous.
Vous pouvez vous accrocher, cher w, ça va durer un petit bout de temps...
D'après mes propres déductions, il faut lire UAA DUOEI GABIU OYAAI.
D'après le livre de J.Pollion, m'étant intéressé de près à sa théorie, on peut «intuiter»:
1) U= obligation, lien... et condition ou moyen selon moi
2) A: vérité, action
d'où A-A=vérité vraie, action véritable
Le A selon moi véhicule une valeur de positivité très générale: oui, grand, ample, plaisir, vrai, agréable etc.
D'après J.Pollion, le doublement d'une lettre énonce une valeur de permanence, de réflexivité, d'égalité, de symétrie d'où AA: vérité permanente, vérité égale, vérité universelle.
Selon moi, il existe 2 types de doublements: des doublements fortuits dus à l'enchaînement des concepts dans le flux verbal comme A-A (grand plaisir) ou bien des doublements dus à la notion conceptuelle de constance AA (vérité universelle).
Je suis convaincu que la prononciation diffère dans ces deux cas: aha pour A-A, et an ou aâ voire ân pour AA.
Notion que ne développe pas J.Pollion, le A étant toujours vrai, il pourrait servir de sonorité agglutinante entre «soncepts» lorsque deux sons consonnes consécutives sont difficiles à prononcer, par exemple B'TE se prononcerait plus facilement en BATE soit baté selon moi.
D'où 1+2: UAA= obligation universelle, lien à la vérité vraie, moyen de la positivité permanente etc.
Si l'on applique la logique multivalente dont les écrits ummites nous abreuvent archi-abondamment, on tombe toujours sur la même notion qui gravite autour de «loi universelle».
Ma prononciation serait ou-an, ou-â... voire ou-ân pour bien marquer le coup.
3) D: manifestation (j'ajoute au sens de «phénomène»)
Supprimer4) U: voir 1)
D'où 3+4: DU= manifestation de lien, Pollion explique dans son livre qu'un langage articulé est la manifestation d'un lien entre 2 personnes soit «langage» ou «parler» etc.
5) O: entité, quelque chose
6) E: perception, sensation objectivable (et aussi lumière ou clarté selon moi)
D'où 5+6: OE= entité perception, entité perceptive, «être sensible» paraît une bonne approximation générique.
7) I en préfixe: il désigne l'absence ou le contraire de la propriété du «soncept» qui suit comme IA= déplaisir, faux, douleur ou IS= non-cyclique, acyclique ou apériodique.
I en suffixe: il désignerait l'altérité, restreinte ou étendue (exprime la totalité en ce cas), selon le contexte de la conversation, comme AI= vérité autre, toutes les vérités ou SI= toutes les fréquences/période, période différente, fin de cycle.
D'où 5+6+7: OEI= «tous les êtres sensibles»
Et 4+5+6+7: DUOEI= «parler avec tous les êtres sensibles» semble une bonne traduction.
8) G: «structure» est le concept le plus passe-partout que J.Pollion donne concernant le G. Il y attribue d'autres mots de valeur sensiblement égale.
J'y ajoute les concepts de semblance et de forme, que Pollion attribue plutôt au D.
9) A: voir ci-dessus.
10) B= contribution, participation (et j'y ajoute capacité, pouvoir)
Selon moi, le B correspond au doublement réflexif du MM, en répétant rapidement le son «m» on obtient un son explosif entre le «b» et le «p». J.Pollion attribue à M le concept «relation», en ce cas MM est une relation réciproque, une interaction, notions très proches des contribution et participation discriminées par Pollion.
11) I: voir ci-dessus
12) U voir ci-dessus
10+11+12: B-IU participation- non obligation, coopération libre.
Selon moi IU est très important, il désignerait le libre arbitre: opposé de l'obligation.
8+9+10+11+12: GABIU= structurer une participation, ou aussi construire une coopération qui sonne mieux à l'oreille d'un Français.
13) O voir ci-dessus.
14) Y: volume selon Pollion.
Selon moi, Y est un II, soit deux I réflexifs donc un «autre permanent», soit l'individualité en général au sens délimitant du terme. On peut y voir la notion de volume aussi. Pollion développe cette interprétation dans son livre en donnant à II la notion de limite.
Il se prononcerait comme f«ill»e ou «y»eux, bien entendu.
15) AA: vérité symétrique, vraiment symétrique, vérité permanente.
13+14+15: OYAA= quelque chose individualisé vrai symétrique... une «boule» est vraiment la chose la plus symétrique qui soit. J.Pollion le développe aussi.
16) I voir ci-dessus.
Supprimer13+14+15+16: OYAAI= les boules autres, toutes les boules soit à peu près «toutes les planètes».
De ce point de vue, UAA DUOEI GABIU OYAAI peut tout à fait signifier, en remettant tout cela en ordre en bon français:
«La loi universelle est de parler avec tous les êtres sensibles et de construire une coopération entre toutes les planètes basée sur le libre-arbitre».
J'irai plus loin en le prononçant: ouân douoéi gabi-ou oyân-i, soit 12 syllabes, à comparer à la phrase en français.
S'adressant à l'ET supposé, j'aurais tout aussi bien pu dire OEY UUKOEIAA E, soit OEY «entité perceptive individuelle» (je) UU «lien réciproque» (fait partie) K (mélange) OEIAA «tous les êtres sensibles universels» E «lumineux» soit:
- «je fais partie de la fraternité universelle de la lumière»;
- que certains pourraient aussi traduire en «je fais partie de la fraternité intergalactique de la lumière», ce qui se prononcerait selon moi oéill'houkoéi-ân-é... Ashtar Sheran nous lis peut-être en ce moment même!...
Mon vis à vis oumain putatif en aurait été retourné comme une crêpe à la chandeleur. :))
D'après moi, ce langage est fonctionnel.
Isabelle est en désaccord là-dessus.
Quand on commence à le pratiquer, ce qui est mon cas, on remarque que la valeur des mots, quelque soit l'interprétation, oscille autour d'une valeur constante. Sans doute est-ce pour cela que les Oumains disent que leur langage est propice à la logique multivalente.
En fait, ce langage présente ce que les physiciens quantiques dénomment des états indéterminés superposés intriqués fluctuants non-localisés, cette incertitude étant levée par le contexte de la conversation.
Vous comprenez, cher w, que j'ai moi-même été très troublé par la forme de perfection que représente ce langage, à mon sens en tout cas.
En cela, la lecture des pages 361 à 385 du livre sur l'affaire UMMO de J.Pollion -dépôt légal juillert 2002- (le «r» en trop est d'origine) et les application et adaptation des principes énoncés aux idiomes des lettres oumaines m'ont convaincu de la véritable efficacité de ce langage en tant que véhicule de la pensée.
Compte-tenu de son aboutissement, de sa simplicité, de sa résonance, de sa polyvalence (ou multi-valence peu importe), j'en suis venu à penser que ce langage est autre que la langue maternelle des Oumains, en admettant qu'ils existent.
En cette dernière hypothèse, il m'est donc évident que cette langue n'est pas la leur. Nous en avons déjà parlé avec Isa-Belle (qui ne croit pas à ce langage), ce code correspond à un chemin évolutif qui me paraît trop long et consensuel pour être le fait d'une seule espèce et/ou d'une seule période de civilisation.
Voyez-vous, et vous le voyez peut-être en icelle hypothèse ci-dessus, il me paraît encore plus évident que «l'oumain» est un espéranto universel utilisé et développé par une myriade d'autres avant-eux.
Étant un parmi tant d'autres, or chacun pouvant se tromper ou rêver, il me paraît concevable que cette langue puisse nous raconter l'histoire de l'intelligence depuis des milliards d'années... «Quand tu contemples l’abîme, l'abîme te contemple aussi».
SupprimerS'il s'agit d'un langage artificiel d'origine homo-sapiens, ceux qui l'ont fabriqué sont des génies.
Passée une période d'apprentissage assez rebutante, les choses deviennent un véritable jeu de logique et d'intuition. La stimulation cérébrale résultant de ce mouvement simultané de l'esprit utilisant en même temps le raisonnement et la métaphore instinctive est tout bonnement délicieuse.
Pour ceux poètes à leurs heures, on pourrait approcher la démarche de traduire un texte en ummite comme l'antisymétrique de la composition poétique, la poésie et la structure du langage oumain sont des quasi-énantiomères. Il m'est impossible d'être plus clair car tout est dans le ressenti.
Cette séduction m'apparaît empoisonnée car bien que l'oumain soit plus facile et économe que le français, notre langue chante d'une quantité d'harmoniques, d'homonymes et d'une structure grammaticale qui permettent des prouesses adimensionnelles dont l'oumain semble bien incapable.
Le langage oumain écorne la virtuosité acoustico-verbale.
Pour exemple, voici:
- IEESSAADUSIRROEMMIIWOA (se prononçant i-éêchandoussi koébi-i-houoa selon moi).
Il vaut mieux s'épargner le détail du thème dont la version originale est:
«Je ressens forte et ample harmonie de langage
En crépuscule siècle aube de millénaire
Expectant à l'exemple de ce nouvel âge
Au tombeau de l'espiègle Enfant-Roi débonnaire».
Vous aurez noté, cher w, 2 choses: (1) la très faible musicalité du thème oumain et (2) la longueur de la VO.
Perdre la musique de notre chant intérieur par attrait de l'efficacité, ce chant qui fait que la pensée germe dans l'écho coloré de sa prosodie, serait un crime contre l'Humanité, cela a déjà été dit je crois.
Isabelle m'a dit que mon témoignage vous avait plu, peut-être tout cela vous aura-t-il enchanté.
IOSSAAOAEESSEEYAAEAYISAAIAIEEUAAUUYISAAIAOEIDAAOEOESIOASSAAIO
Il va de soi que ces concaténations s'adressent à ceux qui, peut-être, existent et, certainement, comprennent.
FIN DE LA REPONSE DU TEMOIN
Je reprends quelques éléments du témoignage:
RépondreSupprimer"L'attention durable qu'il portait à ce prospectus qui se lisait en 20/30 secondes m'a semblé suspecte, à moins bien sur qu'il n'aie été dyslexique ce qui expliquerait tout."
-ou p-e cette personne était-elle tout simplement déboussolée par la vacuité du prospectus qu'elle lisait.
"Flic ou ET?"
-(Flic & ET) p-e, ou (!Flic & !ET). Allez-savoir!
"UAADUOEGABIUOYAAI" et "il est devenu gris-verdâtre"
-Réaction normale devant ce gloubi-boulga de soncepts.
"il est devenu gris-verdâtre"
-Une nausée passagère vraisemblablement.
"je lui montrai ma page FB sur son Iphone en lui disant de me recontacter par ce biais."
-Attention aux petits doigts sensibles, il aurait poussé des cris de douleur en utilisant l'écran tactile de l'ordiphone, mais p-e utilisait-il un stylet? De plus, pour être recontacté, il faut utiliser Twitter et non FB.
"moustache fine"
-L'odorat de l'ummite est délicat, il ne supporterait pas d'avoir une riche faune si proche des narines.
https://www.slate.fr/story/101353/barbe-bacteries-sales-wc
Certes, une moustache n'est pas une barbe, mais je doute que l'ummite apprécie d'avoir un bidet sous le nez.
-Il n'est fait aucune mention de la voix nasillarde. Mais il est possible que la petite moustache soit un dispositif sophistiqué qui enrichit les harmoniques de la voix de canard. Une moustache postiche high tech en quelque sorte. Dans ce cas, mon commentaire précédent n'a plus de sens.
Dans un commentaire du témoin:
"Quand on commence à le pratiquer, ce qui est mon cas, on remarque que la valeur des mots, quelque soit l'interprétation, oscille autour d'une valeur constante."
-Vrai sauf que l'amplitude de l'oscillation est énorme, c'est un système instable, non fonctionnel, les
ambiguïtés ne sont pas levées. Le contexte n'est pas suffisant pour assurer un amortissement.
"En fait, ce langage présente ce que les physiciens quantiques dénomment des états indéterminés
superposés intriqués fluctuants non-localisés, cette incertitude étant levée par le contexte de la conversation."
-J'espère qu'un physicien en mécanique quantique ne lira pas cela. Pareil, incertitude non levée. Heinseberg n'aurait pas osé.
Je n'irai pas plus loin, ce témoin fait preuve d'une ummophilie exacerbée qui l'amène à interpréter des faits banals sans lien direct ou indirect avec les Ummites.
Bonjour...
RépondreSupprimerLes suiveurs du blog d'Isa l'ont bien compris le «témoin» a été victime d'un homme plus rusé que lui. Il a trouvé de quoi se distraire pour pas un rond. Il a flairé le pigeon allergique aux chemtrails et la suite était prévisible. Il l'a emmené de sujet en sujet comme on mène son chat à sa gamelle... «Minou Minou, viens manger tes croquettes!»... :))
Ou bien le témoin est un affabulateur un peu trop seul dans la vie...
Juste un ou 2 exemples pour le témoin et etakriss. Ils ont un point commun... ils croient à l'affaire ummite.
La déclaration «Oummaine» que cette espèce «aliénigène» serait pourvue d'une hypersensibilité tactile est risible... ça l'empêche d'exercer de fortes pressions ressenties douloureuses et même dommageables pour le respect et l'intégrité de cette perception sensorielle (relire les lettres en question).
J'aimerais que l'un et l'autre m'expliquent comment une tribu peut passer du stade sauvage à celui de chasseurs-cueilleurs sans tenir fermement des armes en mains pour assurer leur survie. Ceux qui ont travaillé de leurs mains (mais y-en a-t-il beaucoup?) savent bien que les mains sont... indispensables... et exercent de très très fortes pressions pour saisir... arracher... projeter... asséner des coups... Pas vrai?... ;)
Ils pourraient expliquer aussi (peut-être?) comment le passage à l'agriculture est possible si nos tristes drilles sont handicapés au point de hurler de douleur chaque fois qu'ils tiennent un manche... ou tout outil agricole. Ici aussi et idem que pour la chasse et la cueillette le travail de la terre est une épreuve permanente pour les mains... Pas vrai?... ;)
Toujours dans l'optique comment passer au stade technologique sans développer un artisanat spécialisé et ses nombreuses contraintes et blessures pour les mains?... Par télékinésie?... Sans aucun doute possible!!!... Et vous pouvez me croire puisque je suis un hybride entre un pléiadien + un végan + 7 ou 8 reptiliens différents... C'est pas une preuve absolue ça?... puisque c'est écrit noir sur blanc... hein?... :))
Peut-être même que l'un et l'autre pourraient aussi nous expliquer pourquoi ils nous diraient la vérité à propos d'eux-même si nos petits rigolos sont vraiment des extraterrestres... Pourquoi donneraient-ils des détails qui les rendent repérables si le but est la furtivité observatrice (comme ils le prétendent)?... Et si on leur donne crédit vu leur niveau nano-technologique il serait incompréhensible qu'ils n'aient pas développé des prothèses cutanées pour compenser un handicap très très handicapant. Il serait plus qu'archi-logique de mentir sur leurs caractéristiques (en admettant l'hypothèse fantaisiste de l'existence des E-T). Un point c'est tout.
Donc il serait sûr 1) qu'ils ne sont pas hypersensibles des mains au point de ne pouvoir pianoter sur un écran tactile 2) que leurs voix sont autres que nasillardes 3) que leur taille moyenne soit non conforme aux déclarations des lettres «umites» etc.
Notre témoin «ummophile» et son commentateur contempteur manifestent une tendance commune à la... naïveté...?... Je suis curieux de savoir jusqu'à quel âge ils ont cru au père-noël... :))
L'expertise est sans objet dans ce dossier scabreux et truffé d'incohérences invraisemblables. La personne vraiment intéressée par le sujet (comme moi) doit partir du principe que tout est faux et tout faire pour prouver la falsification. Quand on s’attelle à cette tâche, il devient vite évident que ces écrits sont un tissu de mensonges, un «ourdissage» nauséabond. Face à la duplicité, je me demande ce qui serait pire: qu'ils soient effectivement de nos semblables menteurs ou alors des manipulateurs venus d'ailleurs.
Dans tous les cas, ces joyeux sires méritent une méfiance hostile. Une farouche opposition et un refus total de coopérer s'imposent (si ces E-T existent). Un séjour à pourrir en prison est mérité s'ils sont des homo sapiens.
Moi je pense que si il y a un message dans toutes ces lettres c'est que l'homme doit se reprendre en main et ça c'est une véritée peu importe si ils existent ou que ce soit des plaisantins, et tout le monde passe à coté et s'en bas les couilles pardonnez moi l'expression!
RépondreSupprimerCela représenterait un gros travail pour passer comme message une évidence !
SupprimerSi tu pouvais éviter de glisser une vulgarité toutes les deux lignes, cela te permettrait de continuer d'avoir droit au chapitre...
La moustache cacherait t'elle une coloration marquée de la peau?
RépondreSupprimerJ'ose croire que des ET auraient des produits de "maquillage" efficaces, susceptibles de cacher une coloration caroténique.
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