mercredi 23 mai 2012

Mars 2012 - Une lettre ummite de 87 révélée au grand jour


Nouvelle surprise dans l'affaire ummite, une lettre du 23/06/1987, référencée O1 sur le site ummo-sciences surgit de nulle part. 

Pour la consulter, suivez ce lien vers la lettre O1, reclassée depuis en NR23 par Ummo-Sciences. Vous pourrez même accéder au document source en espagnol si vous voulez comparer avec la traduction.

Cette nouvelle lettre pose question à plus d'un titre.



Adressée à Rafael Farriols, décédé en 2006, il est difficile de suivre son parcours. Le site ummo-sciences déclare l'avoir reçue sous forme de mail de sa version espagnole ummo-ciensas.org, qui l'aurait obtenue à partir du groupe de Madrid. Et comme Farriols n'est plus de ce monde, on peut se demander qui a décidé de sortir cette ancienne lettre de derrière les fagots et pourquoi elle serait restée cachée si longtemps.

Jean Pollion, connu de ceux qui s'intéressent à Ummo pour avoir proposé une traduction des termes ummites, a tenté de traduire le document et selon ummo-sciences a vérifié les scans d'origine. Que doit-on comprendre? Que Pollion pense, grâce à certains indices, que la lettre est une "vraie" lettre ummite ou simplement qu'elle date bien de 1987?

Cette lettre est une analyse sévère de notre société. On y retrouve des idées déjà évoquées dans d'autres lettres ummites (endormissement et neutralisation des masses,  critique des modèles libéraliste et communiste, intérêt de se regrouper pour des échanges constructifs, etc.). Cette lettre ne donne donc aucune information vraiment nouvelle ou technique.

Elle semble introduire, ce me semble, la lettre D1378 de 1988, lettre surprenante car elle ne présente rien moins qu'un plan de prise de contrôle de la Terre par les Ummites en cas d'extrême nécessité et pour notre bien.
Pour preuve de ce lien possible entre les deux documents, on trouve, à la fin de la O1 :
"Dans d’autres rapports, nous vous offrirons un schéma esquissé de comment pourrait être structuré ce modèle en prêtant attention aux singularités des cerveaux des OEMII de OYAAGAA."
Et effectivement la D1378 évoque sans complaisance nos cerveaux terriens et les maux de notre société:
"Ceci n'est pas le plus grave. Le tronc nerveux aux niveaux du noyau réticulaire central et du fascicule cunéiforme, du noyau pontique caudal et du noyau réticulaire oral du pont ainsi que des noyaux déterminés intégrés à l'environnement du système limbique (Nous utilisons la terminologie familière aux neuroanatomistes de langue espagnole) présente des formations dendritiques classifiées comme paléoencéphaliques dans toutes ses caractéristiques, puisque ses réseaux engramment des règles d'actions instinctives héritées de vos ancêtres animaux.
Celles-ci modulent des modèles de conduite agressive ou compulsive si sensible au milieu physico-biologique que non seulement elle empêche la liberté de décision élaborée dans le cortex, mais elle pousse aussi vers des pratiques irrationnelles et sauvages très dangereuses, car elles sont dotées d'une auréole émotionnelle qui était inconnue chez vos ancêtres mammifères.
"
On notera au passage que la D1378, bien plus technique, est aussi sujette à caution pour diverses raisons.

Mais le plus surprenant; c'est que la syntaxe de la lettre O1 est franchement incorrecte, ce qui n'est pas vraiment dans les habitudes ummites. A moins que les traductions d'ummo-sciences ne soient plus aussi efficaces qu'avant, mais je ne pense pas que ce soit le cas.

Alors, tout cela est bien étrange :
- pourquoi la forme de cette lettre est-elle si différente des autres, en supposant que cette lettre fasse partie du même lot que les autres?
- pourquoi cette lettre, plutôt anodine, réapparaît-elle aujourd'hui? En raison de la crise économique actuelle?
- qui a décidé de la diffuser?
- a-t-on de vraies preuves de la date de ce document?

On a évidemment envie de penser à un faux. Mais les motivations du ou des rédacteurs resteraient mystérieuses. Casser l'affaire Ummo?  Faire passer un idéal politique sous la bannière ummite? 

Toute l'affaire Ummo est rendue plus difficile par le fait que les  récipiendaires du groupe de Madrid se complaisent dans le secret, obéissant en cela aux rédacteurs!

Plusieurs solutions sont envisageables :
-a- faux de 1987, écrit par quelqu'un voulant s'amuser
-b- lettre de 1987 écrite par les mêmes rédacteurs terriens que les autres, qui auraient voulu, à l'époque, qu'on doute de leurs propres missives
-c- lettre de 1987 écrite par des extraterrestres qui auraient voulu limiter la croyance en eux et qui auraient exigé qu'on ne la publie qu'à leur demande ou plus amusant qui auraient eu une défaillance de leur système de traduction automatique.
-d- faux récent, écrit par quelqu'un voulant s'amuser
-e- lettre récente écrite par les mêmes rédacteurs terriens que les autres, qui veulent casser le mythe Ummo
-f- lettre récente, écrite par des extraterrestres qui veulent casser complètement l'affaire Ummo et donc enfoncer le clou après les derniers aveux de Peña.

Soyons clair, dans les membres des groupes en rapport avec ummo-sciences, certains doivent pouvoir éliminer avec certitude les trois derniers cas, sauf s'ils ne savent pas eux-mêmes depuis quand ils disposent de cet écrit!
La 2ème solution n'est pas très logique, même si on ne peut l'éliminer. A moins que l'on n'imagine un groupe secret ayant engagé en 1987 un stagiaire maîtrisant mal la langue pour rédiger la O1.

Alors, cette lettre est peut-être un fake (au sens : document n'ayant pas la même source que l'ensemble du corpus) ou pourquoi pas, une tentative de vrais aliens de discréditer indirectement la D1378 et sa menace d'invasion. Je vous invite à réfléchir sur le sujet.
 
Suite

15 commentaires:

  1. Que de pré-notions vis-à-vis des stagiaires...
    Je proteste !

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  2. oh c'est simple cette lettre a été retrouvée puis envoyée pour MOI.
    Car j'ai les clés d'identification. Le contenu aurait par ailleurs aussi bien pu être écrit par pena, ce sont les dates d'envoi et de réception qui me font "signe".
    A noter le nome, "O1" et non pas 01. Je ne sais pas pourquoi elle a été cataloguée ainsi d'ailleurs.
    De toute manière ça ne sert a rien que je parle ici, parce que ce dont on ne peut parler , il faut le taire.
    Votre site dédramatise les relations avec les zummites, en ce sens il est sympatoche et très chouette je trouve, et grandement néguentropique.
    Si je suis un jour contacté pour "de vrai", je vous mettrai dans la boucle: pour une fois un site rigolo et sérieux en même temps.. et qui ne vire ni dans la paranoia ni dans le conspirationnisme.
    Prenez soin de vous et gardez l'espoir.
    Tout ceci est un long processus, mais les choses bougent, lentement, mais.. surement.
    Sincèrment,
    lui
    P.S. inutile de fantasmer je ne suis pas un zummite, mais j'ai d'excellentes relations :)

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  3. sachez également que les ptits gars d'ummo science, AJH , Pollion , banban et consorts sont bien à la ramasse :)
    je ne parle même pas de Denocla qui est ridicule avec son marketing "trop frais je vend des mugs et des tee shirts". Ca n'est pas un mauvais cheval, a priori, même si on peut se demander si il n'a pas de vilaines casseroles au cul..
    Tout ça nous fait bien marrer, en tous les cas. Ne serions nous pas là au final pour rigoler (aussi) un bon coup, AVEC, les ummites ?
    :)
    croyez moi, la joie est un sentiment très recherché dans l'univers.
    et un type triste, (qui ne rigole pas) ne peut pas vraiment etre joyeux, n'est ce pas ?
    Donc, ne pas hésiter a HURLER de rire.. Vu que ces terriens sont réllement TROP MINABLES :)
    ha ha ha ha ha

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    1. C'est vrai qu'il est préférable de rire des récupérations commerciales du style musique Ummo, T-shirts, etc. Mais c'est moins grave que les reprises sectaires.

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  4. Un nouveau site ?
    "lettres de nos voisins d'oummo "
    http://oummo.wordpress.com/

    L'idée de "supprimer" autant que faire se peut les mots ummites me semble intéressante

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  5. dites donc, isabelle, le «plan pour sauver la terre n est pas une «tentative d invasion»
    je crois bien qu il y a bien des malentendus de part et d autre..
    apres tout, mes zamours cheris bien aimes ne pourraient JAMAIS envahir qui que ce soit.
    nous avons de tels respects pour nos familles respectives vois tu...

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    1. Vous voulez dire que vos amours (je vois avec plaisir que vos liens se resserrent de jour en jour, ou plutôt de commentaire en commentaire) nous apprécient si peu qu'ils n'iraient pas imposer une vie sur Terre à leurs proches. Pourtant, ils trouvent que nous avons une très belle planète et je suis d'accord avec eux.

      Quant à la tentative d'invasion, pourquoi l'exclure? Tout ceci est en rapport avec des lettres écrites par on ne sait qui, peut-être des extraterrestres ou peut-être pas, qui tiennent des propos que rien ne permet de croire. Autant dire que l'on discute sur des sables mouvants et vous semblez y être plongé jusqu'au cou.

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  6. VUE SUR LES ETOILES

    Je contemplais depuis des heures le ciel étoilé de septembre, étendu dans un près en quelque lieu reculé de la campagne sarthoise. La nuit était sereine, la brise douce.

    Je m'endormis sous le firmament.

    Je fis un rêve dans ce champ d'herbe. Un rêve mystérieux et pénétrant, puissant et profond. Un songe à la fois étrange et réel, un mirage comme une vision. Une sorte de fantasmagorie faisant naître en moi des sensations étrangères et familières où je vis ce qui se trame dans les profondeurs des galaxies, ce qui s'y passe à l'échelle humaine... Comme si le temps d'un somme j'avais eu dans la tête les pensées du dieu Jupiter ou que des flammes divines avaient éclairé subitement le ciel devant moi. Bref, ma conscience s'ouvrit sur le cosmos, sonda les espaces infinis pour aller observer jusqu'au moindre insecte, jusqu'au plus petit grain de sable, jusqu'à la plus quelconque peuplade d'hommes vivant là-bas sur des planètes aux confins de l'espace... Par quel prodige eus-je accès au grand théâtre sidéral ? Peu importe. Toujours est-il que là, endormi par une nuit de septembre en pleine campagne, je vis couler au-dessus de moi l'incommensurable fleuve cosmique. Composé d'une infinité d'étoiles, ce flot que l'on nomme Univers charriant la vie à gros bouillons, sans fin, sous des millions de formes, je l'ai rêvé.

    Et ce songe était palpable.

    Voilà ce que je vis :

    Des humanités par milliards peuplant l'Univers, des mondes minuscules ou gigantesques, certains aussi isolés dans l'espace qu'une coquille de noix en pleine mer, d'autres rassemblés en bouquets formés de millions d'étoiles. Partout, des peuples, des civilisations, des océans humains. Des races d'hommes variées, étonnantes, magnifiques, laides, effilées, trapues... De la vie même là où c'est inimaginable, des espèces animales par milliards répandues à travers autant de mondes. Ces mondes multipliés eux-mêmes par cent milliards : autant qu'il y a de galaxies, abritant chacune cent milliards d'autres formes de créatures ! Des contrées grandes comme des planètes et des planètes aussi vastes que des petits soleils. Il n'est pas rare qu'en ces lieux mille Chine puissent ne former qu'une province d'une partie plus étendue encore. Deux-cent milliards d'individus s'agitent sur certains globes. Dix milliards de sosies parfaits vivront et mourront simultanément sans jamais soupçonner que leurs doubles pussent exister à dix milliards d'exemplaires, dispersés à travers l'océan sidéral... Moi, je les ai vus.

    J'ai vu bien des choses encore : des empires paisibles de plus de 100 000 ans, des bâtiments étranges, des grandes villes silencieuses et mystérieuses, habitées par quelques personnes seulement. Et sur cet autre monde, qu'étaient ces déserts semés de cubes de verre oranges hauts comme des maisons ? Des cités endormies ou des champs de batteries solaires ? Ailleurs, par millions des habitants primitifs sortaient de leurs forêts et s'alignaient pour former des signes magiques. Il y avait des processions de toutes sortes, sur beaucoup de mondes très différents les uns des autres. On brandissait des espèces de noix géantes en pleurant dans les rues tortueuses d'une cité sombre sur tel monde. Sur un autre des voix à l'unisson scandaient des mots aigus le long d'une route étroite (cette route était creuse et faite d'un assemblage de plusieurs bandes de couleurs différentes) tout en faisant jaillir des fumées bicolores dans lesquelles se formaient des images de paysages (des genres d'hologrammes ?) à partir de cônes géants translucides posés sur leur tête... Qu'était-ce donc ? Une manifestation de revendications sociales, des opposants politiques, des réjouissances profanes, des ingénieurs établissant des mesures lors de travaux publics ? Il m'a été permis de voir, non de comprendre.

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  7. Ailleurs il y avait un homme qui marchait dans une prairie vêtu d'une multitude de cercles -d'un rouge vif- très minces superposés, comme suspendus en l'air par je ne sais quel effet magnétique tout en épousant sa silhouette et ses membres (un peu comme le bonhomme Michelin). Ces cercles tournaient sur eux-mêmes lentement tout en flottant autour du corps de l'homme qui marchait. Je me dis : voilà une espèce de farfelu qui, comme chez nous, entreprend quelque exploit courageux et inutile. A l'image de nos "traverseurs" d'océans à la rame, de ces sauteurs de tours en parachute, de ces excentriques allant se perdre volontairement dans le désert munis de casques à pointe ou de ces funambules habillés en clown qui font du vélo en équilibre sur une corde suspendue au-dessus de quelconques chutes d'eau... A moins qu'il ne s'agît d'un citoyen banal d'une république utopiste ou d'un royaume complexe en train de vaquer à des occupations fort ordinaires échappant à mon regard profane... Comment aurais-je pu interpréter avec justesse ce que je voyais ? Des gouffres psychologiques, des abîmes philosophiques me séparaient de ces mondes. Je me contentais d'observer, émerveillé, étonné, amusé.

    J'ai pu voir mille autres choses que je suis incapable de nommer, des merveilles impossibles à relater, des phénomènes que je percevais comme extraordinaires et qui semblaient naturels à des milliards d'individus...

    Lorsque je me réveillai l'herbe était humide, les constellations avaient changé de place. La vision avait duré deux heures... Je sais intimement que ce songe n'était point un mirage mais un voyage fulgurant vers des mondes disséminés à travers le cosmos, un voyage qu'il m'a été permis d'effectuer comme une grâce, emporté par les ailes de Séléné.

    VOIR LA VIDEO :

    http://www.dailymotion.com/video/xxt3di_vue-sur-les-etoiles-raphael-zacharie-de-izarra_news#.US0P4TCfHns

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    1. "Un homme a besoin de voyager, seul, pas à travers des histoires, des images, des livres et des télévisions, il a besoin de voyager, seul, avec ses yeux et ses pieds, pour comprendre ce qui lui appartient."
      - Amyr Klink (rameur brésilien solitaire en pleine mer)

      - https://kdfrases.com/frase/91781

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  8. +++++++

    PRECISION DE L'AUTEUR

    A ceux qui à travers ce texte me reprocheront de m'égarer sur les sentiers d'une imagination à leurs yeux peu réaliste :

    Ne serait-ce pas plutôt le manque d'imagination qui paralyse les petits esprits et les empêche de projeter leurs pensées plus haut que leur friteuse électrique, plus loin que leur programme télévisé du samedi soir ? La réalité dépasse de toute façon tout ce que l'on peut imaginer et ce dans tous les domaines, la preuve à chaque instant sous nos yeux que ce soit à travers le mystère mille milliards de fois reproduits du brin d'herbe, du moucheron, à travers l'incroyable complexité du cerveau humain ou bien tout humblement à travers les atomes de l'air qui nous entourent... Tout procède d'une imagination infiniment plus fertile, plus folle que la simple imagination humaine qui elle ne prend qu'une infime mesure de la réalité des choses.

    Qu'aurait donc pensé un laboureur du Moyen-Âge s'il lui avait été donné de voir son descendant taper sur un ordinateur dans son exploitation agricole ? Il aurait dit :

    - J'ai vu un paysan s'entretenir avec un carré plein de lumière et le carré lui répondait avec des signes magiques qui apparaissaient, disparaissaient. Puis naissaient des images fulgurantes qui s'agrandissaient, rétrécissaient... Et même des bruits étranges sortaient du carré lumineux. Ensuite le paysan est sorti de sa maison et un énorme animal de fer l'a avalé. Et je vis l'homme dans la tête du monstre qui rugissait, il se maintenait accroché à une roue derrière les yeux du dragon, il était vivant mais ne bougeait pas, tournant juste la roue devant lui, et la créature avançait pour emporter sa proie jusque dans un immense champ de blé dans un grondement de tonnerre... Un oeil orange clignait au-dessus du démon d'acier et cet oeil éclairait le champ de blé comme une torche qui s'allumait et s'éteignait cent fois par minute !

    Le paysan du Moyen-Âge viendrait juste de décrire avec ses yeux médiévaux un paysan contemporain faire ses comptes sur son ordinateur avant de monter sur sa moissonneuse-batteuse surmontée d'un gyrophare. Un fait qui nous semble à nous parfaitement banal peut être observé avec effarement, incrédulité par un témoin d'une autre époque ou d'une différente mentalité.

    Je ne fais rien d'autre à travers mon "rapport de voyage" à travers les étoiles : je raconte avec mes mots de terrien du XXIème siècle ce que j'y ai vu. Je n'ai pas affirmé que je comprenais ce que je voyais, je n'ai fait que raconter ce que j'ai perçu du haut de mon esprit non initié, de la même manière qu'un citoyen de la Rome antique raconterait à ses contemporains le métropolitain de TOKYO du XXIème siècle ou notre aviation de transport de masse...

    Soyez persuadés que des habitants d'autres planètes observant certains de nos comportements seraient aussi incrédules que vous face à ce que je rapporte de mon voyage onirique. Marco Polo racontant certaines scènes orientales n'avait pas été cru de ses contemporains qui l'accusaient d'affabulation (même si certains historiens prétendent qu'il ne fit jamais son voyage en Chine).

    On pourrait ainsi multiplier les exemples.

    Ce n'est pas parce que je raconte des faits avec mes mots que ces faits n'existent pas. Qu'on me laisse au moins la liberté de proposer à mes lecteurs l'évocation de ces autres mondes. Libre à eux de ne pas y porter crédit, de restreindre leur vue à leurs clochers, leur LOTO, leurs vacances en Normandie et leurs croquettes pour chiens.

    VOIR LA VIDEO :

    http://www.dailymotion.com/video/xxt3di_vue-sur-les-etoiles-raphael-zacharie-de-izarra_news#.US0P4TCfHns

    Raphaël Zacharie de IZARRA

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    1. "Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant...", je vois que des amoureux de Verlaine et de la poésie fréquentent mon blog.

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  9. Bonjour mes amis, je reviens commenter parce que chaque fois que je vois des références à cette blague incomplète je suis forcé de penser à quel point le dactylographe était innocent quand j'ai commencé une chista et penser que l'UUmitas intelligente connaîtrait la réponse, étape pour expliquer : dans la lettre D1378 on peut lire : "Ainsi les sophismes populaires acceptésment qu'une boule d'acier tombe plus rapidement qu'un globule de coton" " donnant la fausse impression que nous sommes aussi al quadrado.
    Et cela fait partie d'une vieille blague destinée à être prise à votre voisin. La blague :
    Une question : "Savez-vous ce qui pèse le plus, qu'il s'agisse d'un paquet avec un kilo de fer ou un kilo de coton ?"
    La réponse normale : "Putain, s'ils pèsent tous les deux un kilo, c'est le poids des deux".
    La réponse de l'interrogateur : "puis laissez tomber un kilo de fer et un kilo de coton sur votre pied, que vous allez savoir lequel pèse le plus" Le dactylographe pensait que l'intelligence UUmita devait découvrir la blague rapidement, et non qu'ils devaient changer Kilo force normale pour Kilo masse scientifique. Morale : ne commencez jamais une blague qui implique des experts autochtones avec des civilisations qui ne sont pas du même quartier. Très exemplaire, l'UUmitas a donné une classe de physique inédite, car le dactilographe n'avait jamais entendu parler de l'existence de la masse kilo.
    Ou vraiment étrange est que personne en 50 ans, a terminé la blague aux expéditionnaires, de sorte qu'ils rient aussi et le kilo de fer et de coton apparaissent toujours comme synonymes de notre petite intelligence.
    Et comme je pense toujours la même chose, ce sera que dans les millénaires à venir personne ne leur racontera la blague complète, pour l'amour de Dieu.
    Je vous remercie

    Traduit avec www.DeepL.com/Translator

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  10. Voyons si la traduction est ilariante comme l'espagnol original.

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