Vous savez, j'imagine, ce qu'est un drone.
Voici la définition d'un drone selon Wikipedia
"Un drone (« faux bourdon » en anglais), ou UAV (Unmanned Aerial Vehicle) est un aéronef commandé à distance, qui emporte une charge utile, destinée à des missions de surveillance, de renseignement, de combat ou de transport (avec le K-Max UAS). Ils sont en général utilisés au profit des forces armées ou de sécurité (police, douane, etc.) d'un État, mais peuvent avoir aussi des applications civiles."
Des drones high-tech existent déjà, développés par les militaires, évidemment. Je vous laisse le loisir de découvrir leur look en cherchant vous-mêmes sur le net. Mais ces drones ont rarement une forme sphérique. Ils s'inspirent plutôt d'engins volants classiques, style hélicoptères ou avions.
Les japonais ont imaginé en 2011 un drone sphérique. Sa technologie (turbine) est rudimentaire, mais c'est un drone version économique!
Pour en savoir plus sur le drone japonais, suivez le lien.
Pourquoi évoquer cette technologie ? Tout simplement parce que, dans leurs lettres, les Ummites avouent employer des drones de surveillance qu'ils appellent UULUEWA. Ces drones, beaucoup plus petits et beaucoup plus complexes que la version japonaise, sont mentionnés dans une lettre de 1967, la lettre référencée D62 sur le site ummo-sciences :
En voici des extraits (la lettre va plus loin dans la description du dispositif) :
"Comme je ne peux pas non plus accompagner le récit des photographies prises à 600 et 233 mètres d'altitude par notre UULUEWA (équipement sphérique d'environ 2,19 centimètres de diamètre), pourvu d'une chambre UULOODOO (photographie électrostatique) avec une propulsion magnétodynamique qui peut l'élever jusqu'à une hauteur de 0,1 KOAE (870 mètres) pour obtenir des vues qui ressemblent à celles que vous appelez photogrammétriques et capter des sons."
"Le UULUEWA les suivit à 800 m au dessus de leurs têtes, sans que les naïfs accompagnateurs ne s'en aperçoivent."
"Vous comprendrez ce type d'erreur si nous vous expliquons à grands traits comment fonctionnent nos UULUEWUAA. Ce sont généralement des dispositifs de forme sphéroïde et de taille différente (de l'ordre de quelques centimètres). A l'intérieur sont disposés divers dispositifs de contrôle.
Un UULODOO: capable d'enregistrer des séquences d'images en trois dimensions et de les retransmettre instantanément ou à intervalle différé
Un UAXOO IXINAA : espèce de microphone différentiel composé de 734 cellules de résonance sensibilisées chacune pour une gamme très restreinte de fréquences acoustiques. Le champ d'audition s'étend de 16 à 19.500 cycles par seconde. Les niveaux (à réponse pratiquement plane) ont un seuil inférieur à six décibels et un niveau de coupure à 118 décibels. (Les cellules enregistreuses de fréquences infrasoniques à cause de leurs dimensions réduites, ne travaillent pas à une résonance propre ).
Un IBOAYA NOA UAXOO : détecteur d'hélium liquide (ponctuel) capable d'enregistrer les fréquences électromagnétiques qui s'étendent de la gamme appelée par vous centimétrique jusqu'à la bande bêta environ. L'appareil d'enregistrement discrimine fréquence, amplitude et phase, en contrôlant simultanément le temps de vérification de la détection.
L'émetteur de bande multiple, générateur d'ondes gravitationnelles pour la communication avec les organes de contrôle et retransmetteur de l'information enregistrée par les différents appareils.
De plus, il est pourvu d'un appareil de niveau gravitationnel, qui permet à l'UULUEWUUA de se maintenir à diverses altitudes programmées, grâce à l'enregistrement du champ gravitationnel et du dispositif propulseur correspondant. La mesure du champ se réalise grâce à un accéléromètre miniaturisé qui évalue la constante "g" en chaque point, en contrôlant le comportement en chute libre d'une molécule de (SCN)2 Hg (thiocyanate de mercure). Voir appendice 1 (document D977).
Donc: l'appareil se déplace au moyen de deux modes de contrôle. Dans des cas déterminés un transcepteur de champ gravitationnel à haute fréquence émet des impulsions codées de contrôle qui sont automatiquement corrigées quand l'UULUEWUA se trouve aux abords d'un obstacle. L'opérateur à terre qui prend en charge l'appareil peut voir sur un écran tout le champ visuel détecté par le petit UULUEWAA. Cette méthode néanmoins s'utilise rarement car elle exige une surveillance continue par un OEMII.
En général, le parcours spatial de l'appareil est programmé préalablement dans l'UULUEWUAA. Pour cela, on lui fournit une séquence d'images, correspondant à la topographie du terrain, qui doit servir de guide à l'appareil. Cette succession d'images porte, mémorisée, la trajectoire prévue que doit suivre le véhicule miniaturisé. Cette information est mise en mémoire dans une cellule de titane cristallisé chimiquement pur."
On trouve aussi mention de cet équipement ummite dans une autre lettre, à différencier des courriers ummites classiques, puisqu'il s'agirait d'une lettre envoyée par un des dactylographes humains employés par les Ummites. Il s'agit de la lettre référencée E3 dont voici un extrait et où l'on trouve un dessin sommaire de ces drones équipés d'excroissances :
"Ensuite, ils commencèrent à sortir de la valise des boules d'aspect métallique de la grosseur d'une balle de tennis et d'autres plus petites. Moi j'en avais déjà vu une quelques mois auparavant. C'est quelque chose d'extraordinaire. Elles se maintiennent en l'air et se dirigent à toutes les hauteurs comme contrôlées par radio. Deux autres en sortirent qui ne se voyaient pas trop bien et qui avaient une forme semblable à celles-ci :
Au total ils en sortirent près d'une vingtaine de différents types. Ils les mettaient une à une sur le balcon comme s'il s'était agi de bulles ou de petits globes, et elles disparaissaient dans la rue. Au moins quatre boules de plus passèrent près du plafond en rasant la lampe et se postèrent dans le couloir de la maison."
Donc, vous me direz : "Foutaises! Si ces drones existaient, on les aurait déjà remarqués !"
Eh bien, justement, parfois certains témoignages évoquent beaucoup ce genre de technologie. Bien sûr, tout témoignage n'est pas parole d'évangiles.
Mais bon, si vous voulez découvrir un témoin ayant aperçu un drone sphérique en plein Paris, très récemment (01/07/2012), je vous conseille de suivre le lien vers un excellent site : le forum-ovni-ufologie.com
Je me permets de citer de brefs passages du témoignage en question :
"...je regardais le bâtiment en face de moi, à environ 60-80m..Il y avait, je crois, 5 étages et c'est au niveau du dernier étage que je vois (encore...) une petite boule orange, pas très lumineuse mais suffisamment pour être visible. Elle longeait les fenêtres de ce dernier étage à vitesse réduite, comme pour les passer en revue, de la gauche vers la droite... C'était petit, à mon avis pas plus gros qu'un ballon de basket.... Il s'est ensuite trouvé face à un autre bâtiment placé perpendiculairement par rapport à l'autre, avec un ou deux étages en plus. La boule s'est alors arrêtée environ 3-4 secondes, en position parfaitement stationnaire, nullement inquiétée par les remous du vent, puis est montée verticalement et sans sourciller au dessus du toit, à peu près à la même vitesse que lors de son déplacement horizontal.Une fois au dessus du toit, nouvel arrêt,3-4 secondes, puis elle est repartie à l'horizontale, toujours à la même vitesse mais en effectuant cette fois un virage pour contourner un autre bâtiment plus haut derrière lequel elle a disparu."
Source:forum-ovni-ufologie.com
Maintenant, à vous de juger, sommes-nous espionnés dans notre intimité par des extraterrestres ?
Allons-nous bientôt disposer de drones sphériques espions de quelques centimètres ?
Il suffit de suivre la notice de construction ummite (un peu incomplète évidemment) !
Mise à jour du 26/06/13 :
Certains ont cru voir récemment un OVNI surveiller les manifestants au Brésil :
Eh bien, il semblerait que nous ayons, en 2013, suivi la mode des UULUEWA ummites décrites en 1967 puisque l'OVNI en question ne serait rien d'autre qu'un drone utilisé pour filmer la foule...
Source : "Une boule lumineuse au-dessus d'une manifestation au Brésil"
Mise à jour du 14 février 2018 :
Autre cas datant de juin 1970 mentionnant une petite sphère lisse de couleur cuivrée en vol stationnaire à 350 ou 400 m du sol. Source : Ovnis à Merlebach : 1970: le /06 à 13h00 - sphère de couleur cuivrée - MerlebachMoselle (dép.57).
Mise à jour du 4 mai 2018 :
Le 30/04/18 vers 09h40 un témoin aurait vu dans le secteur de St Tropez "une sphère d'une couleur jaune et d'un aspect en métal brossé".
Source : Appel à Témoins MUFON France St Tropez (Var)
Suite
Je vais me permettre un petit brin d'humour sans arrière pensée...
RépondreSupprimerOn dirait un lustre avec des petites ampoules! ^_^
Plus sérieusement, il est toujours possible que des technologies très avancées de nos armées n'aient pas une publicité publique et que celles et ceux qui les voient croient voir des OVNI?
Il faudrait que l'on puisse en capturer une pour l'analyser.
Je compte sur toi. Imagine... Ta fenêtre est ouverte. Une boule passe devant en volant sans bruit et s'arrête en tournoyant sur elle-même.
SupprimerTu sautes sur ton filet à papillons ! Tu l'attrapes et tu me l'amènes.
N'y a t'il pas de risque que le filet à papillons ne prenne feu? LOL !
RépondreSupprimerDommage que cela ne soit pas un Pokémon... avec une Master Ball le tour aurait été joué !
Tu es fatigué... On attrape un Pokemon avec les balls. Là, il faudrait s'emparer de la Pokeball!
SupprimerEt puis, on se trompe peut-être d'univers et c'est un vif d'or qui nargue les parisiens sous leur toit.
Oui, mais il y a Voltobre et Electrode qui ont une apparence de Ball... et deux champignons aussi ! Donc il faut tenter le coup !
RépondreSupprimerUn vif d'Or? AH !!! C'est dans Harry Potter ça !!! Peut être... mais pauvre petite créature... Si c'est le cas, elle serait tombée dans une bien mauvaise citée.
Introduction[modifier]La MAD ou MHD-gaz est une science à la croisée de plusieurs disciplines : mécanique des fluides, aérodynamique, électromagnétisme et physique des plasmas.
RépondreSupprimerLa physique des plasmas est au cœur de la MAD : l'air est un isolant. Pour y appliquer des forces de Lorentz et que celles-ci puissent agir sur le gaz, il faut préalablement rendre cet air conducteur de l'électricité en le ionisant, ce qui peut être réalisé par différents moyens (micro-ondes à 3 GHz, THT, faisceaux d'électrons ou laser, rayonnement ionisant). Un gaz ionisé est appelé un plasma.
Ces gaz faiblement ionisés sont dans ce cas des plasmas froids, placés en présence de champs magnétiques intenses. L'étude de ces interactions concerne une branche de la MHD dite à faible nombre de Reynolds magnétique (moins documentée et fondamentalement plus complexe que la "MHD des plasmas chauds" à fort nombre de Reynolds magnétique, à l'œuvre par exemple en astrophysique et dans les plasmas thermonucléaires). Ainsi un "plasma bitempérature" sous paramètre de Hall élevé (quand le champ magnétique est intense) dans un convertisseur MHD est le siège du phénomène d'instabilité électrothermique difficile à maîtriser.
La MHD-gaz a fait l'objet de recherches très actives dans les pays industrialisés des années 1960 à 1970, mais a été ensuite abandonnée face aux obstacles techniques tels cette instabilité électrothermique ou la masse trop importante des électroaimants à embarquer (à l'exception notable des États-Unis et de la Russie, qui dispose depuis les années 1970 du seul générateur MHD-gaz fonctionnel au monde[2]).
L'enthousiasme suscité par cette technologie naissante a été à l'origine, au cours des années 1960, de programmes de recherche et développement militaires liées aux applications aérospatiales envisageables : contrôle des écoulements, génération de puissance, etc. Ces efforts conservent à ce jour un faible niveau de visibilité. Néanmoins, depuis le tournant du XXIe siècle, et à la faveur du progrès technique accompli dans le domaine des matériaux et dans la simulation numérique de phénomènes complexes, les recherches sur les applications aérospatiales des plasmas dont la magnétoaérodynamique fait partie (liée ou non aux applications propulsives) reprennent activement dans plusieurs pays, dont la Russie, les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne et la France[3], grâce à la puissance accrue des systèmes de calcul informatique permettant des modélisations pointues des phénomènes microscopiques et macroscopiques en jeu, ainsi que la disponibilité d'électroaimants supraconducteurs de plus en plus performants.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Magn%C3%A9toa%C3%A9rodynamique
POKEMON !!!
RépondreSupprimerOui, un petit air de famille...
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